Un insecte xylophage consomme la cellulose du bois en creusant des galeries, fragilisant charpentes, poutres et planchers. Sans traitement, il cause une dégradation irréversible, mettant en danger votre habitation.
Les nuisibles xylophages, tels que les capricornes, vrillettes, lyctus ou termites, peuvent endommager gravement vos structures en bois. Identifier les signes d’infestation est essentiel pour intervenir rapidement et préserver l’intégrité de vos constructions.
Petits trous ronds ou ovales, souvent de la taille d’un grain de riz sur le bois.
Poussière ou débris de bois fin autour des zones infestées, signe de larves actives.
Le bois devient cassant et friable, compromettant la solidité des structures porteuses.
Insectes visibles en été, souvent autour ou près des zones infestées par les xylophages.
Bruits faibles provenant de l’intérieur du bois, surtout la nuit, indiquant une activité larvaire.
Pour éradiquer les insectes xylophages et protéger durablement vos bois, nous combinons traitements préventifs et curatifs, adaptés au type d’infestation, à l’essence du bois et à l’ampleur des dégâts.
Pour protéger le bois contre les menaces xylophages dès le départ, nous appliquons des produits insecticides écologiques, renforçant les zones vulnérables et créant une barrière qui empêche leur installation.
Lorsqu’une infestation de nuisibles xylophages est détectée, nous identifions précisément l’espèce, puis appliquons des traitements ciblés, combinant injections et pulvérisations, pour éliminer nuisibles et larves, et restaurer la solidité du bois.
Nous avons traité et préservé de nombreuses charpentes, poutres et planchers infestés par des insectes. Découvrez nos réalisations, où nos solutions expertes ont restauré la solidité et prolongé la durée de vie des constructions, tout en prévenant toute nouvelle attaque.
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Depuis plus de 15 ans, nous mettons notre expertise au service de la protection des structures en bois. Nos traitements écologiques, notre réactivité et notre accompagnement sur mesure garantissent une défense efficace contre tous les xylophages répandus en Suisse.
Équipe qualifiée pour un diagnostic précis et un traitement adapté à chaque type d’infestation.
Solutions respectueuses de l’environnement, sans danger pour votre famille ou vos animaux.
Réactivité maximale pour limiter les dégâts et sécuriser rapidement vos structures.
Contrôles réguliers et conseils préventifs pour assurer une protection longue durée.
La satisfaction de nos clients est notre meilleure preuve de qualité. Découvrez leurs avis sur la rapidité, l’efficacité et la durabilité de notre traitement du bois contre les xylophages, qui a permis de préserver solidité et valeur de leurs constructions.
Nous avons fait appels aux services de Solution Bois pour deux projets: 1) Toiture: traitement préventif contre les thermites 2) Chalet : rénovation et reconstruction d'une partie entière Je suis entièrement satisfait, à la fois de de Mr.Pericaro et ses collaborateurs mais également du résultat. Tout ceci fait avec des devis honnêtes (ce qui n'est pas courant pour toutes les entreprises...) et expliqués.
J'ai fait appel à Adrien dans le cadre de différents travaux. traitements de charpente et isolation. très réactifs sur la communication, pas de dépassement de tarif sur les devis établis en amont, travail efficace et rapide. je ne peux que recommander.
Très bonne réactivité . Personne très serviable
Contactez-nous rapidement pour définir vos besoins et faire examiner l’état de votre bois.
Diagnostic minutieux des zones affectées pour un traitement ou une prévention efficace.
Application experte de traitements curatifs ou préventifs avec contrôle rigoureux.
Suivi régulier pour vérifier la réussite du traitement et prévenir toute infestation future.
Nous intervenons dans toute la région : que vous soyez dans le canton de Genève, de Vaud, du Valais, de Fribourg, de Neuchâtel ou du Jura, nos équipes se déplacent jusqu’à vous.
À long terme, ces insectes peuvent fragiliser gravement la structure d’un bâtiment en bois, voire le détruire complètement.
Il est à la fois curatif et préventif, garantissant une protection de 10 ans.
L’action est immédiate dès le traitement appliqué.
Les xylophages regroupent plusieurs espèces d’insectes coléoptères (et quelques autres ordres) dont la particularité est de consommer du bois mort ou vivant en creusant des galeries. Parmi les espèces les plus courantes que vous pouvez rencontrer dans des bâtiments, on trouve la petite vrillette (Anobium punctatum), la grosse vrillette (Xestobium rufovillosum), le capricorne des maisons (Hylotrupes bajulus) et le lyctus (Lyctus brunneus, parfois appelé lycte brun). Ces noms correspondent à des envahisseurs dont la forme, la taille et le comportement varient : la petite vrillette mesure quelques mm de long et attaque surtout le bois sec des boiseries et des meubles, tandis que le capricorne des maisons peut atteindre plusieurs dizaines de mm à l’âge adulte et cible principalement le bois résineux des charpentes et des toits. Le lyctus brunneus préfère les bois riches en amidon (bois d’arbre à gros pores) et cause des trous de sortie visibles sur les surfaces infestées.
La présence de trous de sortie ronds ou ovales, d’accumulations de sciure fine, et de bois devenu friable sont des signes typiques : les larves creusent des galeries à l’intérieur du matériau, provoquant une détérioration progressive et parfois une perte d’état structurel. Certaines espèces se développent principalement dans du bois sec (bois sec, boiseries, meubles), d’autres dans du bois humide ou soumis à champignons (humidité favorise le développement et la décomposition du matériau). Par exemple, le sirex et certaines guêpes xylophages ciblent le bois d’arbres ou les racines et sont surtout cités comme exemples pour le monde forestier, tandis que les fourmis charpentières s’attaquent plutôt au bois humide et compromis par des champignons.
Les espèces varient aussi géographiquement : en Europe centrale et en Suisse, on rencontrera fréquemment Anobium punctatum, Xestobium rufovillosum et Hylotrupes bajulus dans les bâtiments et charpentes; en Amérique du Nord, d’autres espèces locales peuvent jouer le même rôle. La consommation du bois par ces parasites, leur développement larvaire parfois long (selon la température, le taux d’humidité et l’espérance de vie de l’espèce), et leur capacité à creuser des galeries font d’eux de véritables menaces pour les structures, des meubles aux poutres de toit.
Se débarrasser d’un xylophage demande d’abord un diagnostic précis de l’espèce, de l’état des bois affectés et des conditions qui favorisent l’infestation (humidité, champignons, type de matériau). La manière d’intervenir diffère selon qu’il s’agit d’une infestation localisée dans des boiseries ou d’une attaque plus avancée sur une charpente. Un bon article ou une page de référence commence toujours par l’identification : observer les trous (leur diamètre et leur forme), la sciure, la localisation (meubles, parquet, toit, charpentes), et la présence éventuelle d’insectes adultes en été. Par exemple, des trous de sortie très petits et réguliers évoquent souvent la petite vrillette (Anobium punctatum), tandis que des trous plus larges et des galeries profondes peuvent indiquer Hylotrupes bajulus ou Xestobium rufovillosum.
Les solutions pratiques et éprouvées se répartissent en mesures non chimiques, traitements localisés et traitements chimiques professionnels. Parmi les mesures préventives et curatives :
Assainir l’humidité : abaisser le taux d’humidité du bois (ventilation, suppression des ponts thermiques, réparation des fuites de toit) réduit le développement des larves et limite la décomposition qui attire d’autres parasites et champignons. Les fourmis et certains coléoptères s’installent plus volontiers dans du bois humide ou attaqué par des champignons.
Réparation et remplacement : pour un bois très dégradé, il faut parfois remplacer des éléments porteurs. Le traitement peut alors être combiné à une consolidation des parties saines avant remplacement.
Traitements d’injection et pulvérisation : pour un cas d’infestation dans des boiseries ou poutres, l’injection de produits chimiques spécifiques dans les galeries et la pulvérisation contrôlée en surface permettent d’éliminer les larves et adultes. Ces produits professionnels offrent une très bonne efficacité lorsqu’ils sont appliqués par des entreprises qualifiées et garantissent souvent une protection longue durée.
Imprégnation préventive : l’application de produits de préservation du bois sur des matériaux neufs (bois résineux de charpente, meubles, boiseries) empêche l’installation de xylophages. Les traitements doivent tenir compte du type d’espèce ciblée (par ex. lyctus vs capricorne).
Traitements thermiques et micro-ondes : pour des meubles anciens ou éléments décoratifs, des méthodes non chimiques comme le passage au micro-ondes contrôlé (ou la chaleur sèche) peuvent détruire les larves en interdisant leur développement sans altérer trop fortement le matériau. Ces méthodes demandent un équipement adapté et une expertise pour éviter d’endommager le bois.
Mesures physiques et barrières : le traitement de surface, l’étanchéité autour des points d’entrée et la création d’un abri sain (absence de contact prolongé avec le sol, ventilation sous-plancher) réduisent les risques d’infestation.
Lutte ciblée selon l’espèce : certaines espèces, comme Xestobium rufovillosum (grosse vrillette) ou Lyctus brunneus, nécessitent des produits spécifiques ou des méthodes d’application adaptées en raison de leur biologie. Le terme « consommation » décrit l’action des larves qui ingèrent la structure cellulaire du bois ; comprendre leur cycle (développement plus lent à basse température, espérance de vie variable) guide le choix du traitement.
Surveillance et suivi : après traitement, un contrôle régulier permet de vérifier l’efficacité (disparition des trous de sortie, absence de nouveaux trous, réduction de la sciure) et d’éviter la réapparition. Dans le cas d’un toit ou d’une charpente, un suivi est essentiel car la réparation peut être coûteuse si l’attaque progresse.
Pour les bâtiments et structures porteuses (charpentes, poutres), la priorité est la sécurité : un diagnostic professionnel et un traitement certifié sont indispensables. Les produits chimiques utilisés sont conçus pour pénétrer et traiter les galeries et souvent fournis avec une garantie (comme celle proposée sur 10 ans pour certains traitements). Pour des meubles ou des boiseries peu nombreux, des solutions locales (micro-ondes, traitements de surface) peuvent suffire, mais l’identification des espèces (Anobium punctatum, Xestobium rufovillosum, Hylotrupes bajulus, Lyctus brunneus) reste la première étape.
En résumé, se débarrasser d’un insecte xylophage passe par : identifier l’espèce et l’état d’infestation, corriger les causes favorables (humidité, champignons, contact avec le sol), appliquer un traitement adapté (injection, pulvérisation, imprégnation ou méthodes thermiques) et assurer un suivi. Cette manière structurée d’agir protège vos boiseries, meubles, charpentes et tout autre élément en bois contre la consommation interne, les trous et la décomposition progressive, et préserve ainsi la durée de vie de vos constructions.
